• Dans la nuit, l'andantino

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La harpiste Marielle Nordmann

     

    Elle appuie la grande harpe sur son épaule, ses mains sont deux oiseaux qui volètent ou s'attardent sur la trame argentée tendue dans la triangulaire géométrie du bois précieux. 

    Son visage clair rayonne au travers des fins rais de musique à l'envol.
    Les notes naissent, s'échappent, eau vive, eau lente, ruisselante, sous la pulpe des doigts magiciens qui font jouer le velours des quarante-sept cordes dans le cadre d'acajou sculpté. Le geste est tout en grâce, le bras s'arrondit, la main s'alanguit, parfois se cambre.

    Le visage de la harpiste est un grand lotus tranquille

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    « Rires roses et soleil pareilDemain »
    Yahoo! Google Bookmarks

  • Commentaires

    2
    Samedi 16 Novembre 2013 à 06:06

    Les harpistes sont des fées.

    mon compagnon pas du tout poète a été envoûté par une harpiste à la voix claire qui fait danser ses doigts sur sa harpe celtique.

    • Nom / Pseudo :

      E-mail (facultatif) :

      Site Web (facultatif) :

      Commentaire :


    1
    Vendredi 15 Novembre 2013 à 21:47

    oui, c'est tout à fait ça Myrto ! son geste est une caresse qui fait naître une eau vive, ruisselante, et son visage est "un grand lotus tranquille"... 

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :