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Odeur du temps brin de bruyère
Depuis deux ans exactement, ni le regard ni la parole ni le geste ne me permettent de te rejoindre, petite mère. Je ne puis désormais que me heurter au « jamais plus… »
Comme je regrette de n’avoir pas fait plus souvent la longue distance qui nous séparait, lorsque cela était encore possible. J’ai passé tous les Noëls que j’ai pu avec toi, et les grandes vacances aussi. Pourquoi ne suis-je pas venue à tout moment lorsque c’était possible et qu’aujourd’hui ça ne l’est définitivement plus ?
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Commentaires
Ne sois pas triste, elle n'aimerait pas ça...