• S'habiller de lumière et porter l'estocade

     

    Le temps des corridas est revenu. Difficile de ne pas tomber ici et là dans la presse locale sur ces rouges images qui vrillent le cœur et font, dans un réflexe, détourner les yeux

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Dans le grand cercle de la Terre, nous. Et dans le cercle de toutes les arènes du monde, la part obscure de quelques-uns d'entre nous

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Sur le sable aveuglant devant la multitude

    La trompette, vulgaire, rythme la danse absurde

    De la marionnette étincelante et bête

    Qui inlassablement refait les mêmes gestes

     

    « Adieu à Michel SerresEt d’autres dans d’autres rues s’en vont »
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