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    Le vent ?   

    Je suis le vent

     
    La mer et la lune ?  

    Je suis la mer et la lune

     
    Les larmes, la douleur, l'amour, les oiseaux ?

    Je suis tout cela, le péché, la prière, la lumière...

     
    Je danse ce que je suis...  

     
    Du poète Carl Sandburg évoquant Isadora  Duncan

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Une envolée de Rudolf Noureev, l'Oiseau Bleu - (La  Belle au bois dormant  - Tchaikovsky)

     

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    Sans rime ni raison

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Ce soir, ma bouche s'emplit de solitude

    Les roses ont fui mes mains

    Quelque part un homme meurt de vouloir être libre

    Dans ma tête devines-tu l’âme du vent ?

     

    Eux se sont reconnus. Elle a mordu son cœur

    O toi ma neige de minuit sur les fleurs de l’été

    Je veux te déchirer de mes soleils aussi

     

    Au bord du lac frissonnant la passion prend des reflets de lune

    Je t’aime en rouge et rose sous la lumière de satin noir

    Dans la nuit liquide de nos sources

    Abîmons-nous mon amour

    J’ai soif de renaître encore.

    Myrto - 1 mai 1979

     

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    Georges Brassens a peu chanté les paroles écrites par d’autres, mais il a chanté Lamartine, Antoine Pol, Paul Fort, Corneille et Tristan Bernard, Théodore de Banville, Victor Hugo, Verlaine, Louis Aragon, François Villon... avec peut-être une préférence à Paul Fort, dont il a mis cinq ou six poèmes en musique, et aussi Jean Richepin (Philistins, les oiseaux de passage)

     

    "Jean Richepin est un poète peu fréquentable et c’est pourquoi peut-être Brassens, qui commença sa jeunesse par voler, l’a ressuscité. Jean Richepin, né en Algérie, était le fils d’un médecin breton. Ce colosse fut très tôt turbulent. Sitôt licencié en lettres, il devient franc-tireur, avec Jules Vallès comme maître à penser. La Chanson des gueux lui vaut un mois de prison et 500 francs d’amende et une réputation de Villon des temps modernes. Il s’attaque à tout ce qui est bourgeois et catholique. Son entrée à l’Académie française en 1909 le consacre comme "révolté officiel" mais désormais inoffensif. Membre des "bourreurs de crâne", avec, entre autres, Maurice Barrés, pendant la guerre 14-18, il deviendra la cible du tout nouvel hebdomadaire satirique de l’époque : Le Canard enchaîné. Le voici devenu "vieux con" ! Mais peu importe que son oeuvre soit aujourd’hui oubliée, puisqu’il reste dans nos têtes avec son poème Philistins mis en musique par Brassens." - Source : agoravox.fr

     

    Après Brassens Philistins a été reprise par Maxime le Forestier et Renaud.

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    Par bonheur il y a toujours une musique en accord avec la couleur de l'instant.

    Les frères Jonny, Robbie et Tommy Mizzone sont les Sleepy Man Banjo Boys, un trio de virtuoses de bluegrass qui jouent avec une vivacité éblouissante.

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    Pense à toutes ces routes et à tous ces chemins, qu’ils soient de terre, de ciel ou d’eau, aux ornières, aux nuages, aux récifs sur lesquels depuis si longtemps  nous courons, volons, voguons.

    Aujourd’hui je marche, marche, marche sur cette route étroite  qui longe la petite rivière. Je la connais par cœur la route pour y avoir cheminé sous les longues pluies froides, sous la neige qui danse, sous les feux de tous les soleils.

     

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    Histoire trouble et embrouillée d'un tableau de légende.

     

    http://enquete.lematindimanche.ch/modigliani/http://enquete.lematindimanche.ch/modigliani/

     

    Je retiens de l'article du "Matin Dimanche" que l'essentiel de la collection dont fait partie ce Modigliani (4500 pièces, dont 300 Picasso) est stocké aux Ports Francs et Entrepôts de Genève. A l'abri de tout regard donc. Stupide et hallucinant destin de ces oeuvres faites avant tout pour la lumière.

     

     

    L'art et l'argent

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Homme assis appuyé sur une canne -Modigliani 1918

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    Georges Braque

     

    Jolie façon de voir les choses

     

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    Couleur de l'âme

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Vue sur Tanger - Matisse 1912

     

    Quand j’ai besoin de bleu, de bleu,
    De bleu de mer et d’outre-mer,
    De bleu de ciel et d’outre-ciel,
    De bleu marin, de bleu céleste,
    Quand j’ai besoin profond,
    Quand j’ai besoin altier,
    Quand j’ai besoin d’envol,

    Quand j’ai besoin de nage,
    Et de plonger en ciel,
    Et de voler sous l’eau,
    Quand j’ai besoin de bleu
    Pour l’âme et le visage,
    Pour tout le corps laver,
    Pour ondoyer le cœur,

    Quand j’ai besoin de bleu
    Pour mon éternité,
    Pour déborder ma vie,
    Pour aller au-delà
    Rassurer ma terreur,
    Pour savoir qu’au-delà
    Tout reprend de plus belle,
    Quand j’ai besoin de bleu,
    L’hiver,
    Quand j’ai besoin de bleu,
    La nuit,
    J’ai recours à tes yeux.
    La belle alliance

    Jean Mogin

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Zao Wou-Ki  (La nuit remue)

     

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    Pour le p'tit en pleurs au visage perdu, entrevu en très grand sur l'écran ce midi. Hasardeux transit entre deux violences, entre deux vies...

     

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    Bancale, de travers, à côté, dans la marge,                                       sur le fil était Janette.

     

    Décalage

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Sculpture de Marc Perez

     

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    L'été austral de Charlélie Couture. Melbourne. Petite merveille. Chanson douce et séduisante pour rêveur en partance.

     

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    On passe notre vie entière à attendre. On attend que le jour se lève sur notre vie, que le bonheur nous éblouisse. On attend encore. On attend l'heure, on attend les signes d'un nouveau départ, on attend le bus, on attend l'été en pensant à ce qu'on fera dans des mois ou des années. On attend toujours. On attend que les choses changent, que les nuages se dissipent. On attend toute notre vie une existence qui ne sera jamais nôtre, une existence que l'on s'invente. On attend que notre vie prenne le tournant que l'on souhaiterait. On attend. On attend et on espère. Comme si cela pouvait suffire à combler le manque qui nous consume.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Matisse

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    L'Homme, ce petit monde de folie...

    Goethe - Faust

     

     

    Entre autres

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Magritte

     

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    J'arrive où je suis étranger

    (à mon père, trop loin, si proche)

    [...]

    C'est long vieillir au bout du compte
    Le sable en fuit entre nos doigts
    C'est comme une eau froide qui monte
    C'est comme une honte qui croît
    Un cuir à crier qu'on corroie


    C'est long d'être un homme une chose
    C'est long de renoncer à tout
    Et sens-tu les métamorphoses
    Qui se font au-dedans de nous
    Lentement plier nos genoux


    Ô mer amère ô mer profonde
    Quelle est l'heure de tes marées
    Combien faut-il d'années-secondes
    A l'homme pour l'homme abjurer
    Pourquoi pourquoi ces simagrées


    Rien n'est précaire comme vivre
    Rien comme être n'est passager
    C'est un peu fondre comme le givre
    Et pour le vent être léger
    J'arrive où je suis étranger


    Louis Aragon

     

    L'enfant qu'est-il devenu

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La Mer - Zao Wou-ki

     

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    (de marbre blanc)

     

    Dans nos ténèbres, il n'y a pas une place pour la Beauté. Toute la  place est pour la Beauté.

    René Char - Feuillets d'Hypnos

     

     

    Une pensée pour la nuit

     

     

     

     

     

     

     

     

     

       

     

     

     

     

     

     

     

     (de bois polychrome)

     

     Marie-Madeleine - Gregor Erhart

     

    Décidément, le bonheur est dans la Beauté admirée, aperçue,regardée...

     

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    ...comment dire ce qui n'était ni dit, ni fait, ni pensé même, mais goûté, mais senti, sans que je puisse énoncer d'autre objet de mon bonheur que ce sentiment même.

    Je me levais avec le soleil et j'étais heureux, je me promenais et j'étais heureux, je voyais maman et  j'étais heureux, je la quittais et j'étais heureux, je parcourais les bois, les coteaux, j'errais dans les vallons, je lisais, j'étais oisif, je travaillais au jardin, je cueillais les fruits, j'aidais au ménage et le bonheur me suivait partout ; il n'était dans aucune chose assignable, il était tout en moi-même...

    Extrait Livre VI des Confessions de J.J. Rousseau

     

    Le presqu'indicible

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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